en 1992 à l’issue d’une période de chômage en ayant épuisé tous les contacts et en dépit de démarches nombreuses, une amie me recommande de prier le père Marie -Eugène.
c’était un peu la tentative de la dernière chance et mon optimisme naturel commençait à faiblir sérieusement. Une dizaine de jours suivant la prière, je reçois plusieurs propositions de travail dont une couronnée de succès, j’avais même eu la grâce du choix! Prions le donc avec confiance.